Propulsée au sein de la haute société quand son frère est devenu vicomte, Poppy Hathaway est éprise de Michael Bayning, un jeune aristocrate qui la courtise en secret. Une lettre d'amour égarée la conduit à faire la connaissance du redoutable Harry Rutledge, propriétaire de l'hôtel du même nom. Un homme d'un toupet infernal qui ose lui voler un baiser qu'elle se surprend à lui rendre ! Un homme dangereux, au passé trouble, terriblement volontaire et qui, alors qu'elle se destine à un autre, va se révéler prêt à tout pour la posséder.
Comme pour les précédents tome, c’est avec avidité que je me suis jeté sur ces pages. Encore une fois la famille Hathaway m’a enchantée. Je n’attendais pas grand chose de ce tome d’abord parce que le précédent était juste magnifique et qu’il était difficile de l’égaler, ensuite parce que Poppy ne m’a jamais fait grande impression et enfin parce qu’on m’a dit qu’il était moins bien.
Et bien moi j’ai beaucoup aimé. C’est vrai que Poppy n’est pas aussi mère poule que Amélia, douce et fragile que winifred, drôle que Beatrix ou mystérieuse que Léo. Mais Poppy une jeune femme pleine d’esprit et déterminée qui ne manque pas de charme. Elle aspire à une vie simple et surtout calme avec un mari ennuyeux mais aimant. Courtisée par un jeune homme comme il faut elle place tous ses espoirs dans un future mariage avec lui, d’autant que le gentleman a l’air très éprit.
Arrive alors le méchant de l’histoire, Harry, mystérieux propriétaire de l’hôtel où elle et sa famille résident à chaque saison londonienne. Il serait facile de détester Harry, il est fourbe, capable de tout, imbu de lui même et n’a pas de limite pour obtenir ce qu’il veut, même pas ce que la moral exige. Mais Lisa Kleypas en fait, mine de rien le prince (pas toujours) charmant de l’histoire.
Si le mariage débute sous de très mauvais hospices et avec beaucoup de colère et pas d’amour, nous n’avons aucun doute sur l’issu de tout cela. C’est tout doucement et dans la souffrance que va se développer cette romance. Bien-sûr ce tome n’égale pas le second mais j’ai pourtant adoré et vu la dernière phrase de l’épilogue, je brule de lire le suivant.
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Lu pour
et en Lecture commune avec Mag
Je suis en train d’ecrire mon avis mais franchement les 100 premiere pages était dur pour moi mais une fois cela passer j’ai enfin plus apprécier l’histoire..
contente que ça t’ai plu au final