Hanna Bergstrom, scientifique surdouée de 24 ans, emménage à New York pour poursuivre ses recherches. Son frère aîné, surprotecteur, la convainc de s'affranchir de son cocon académique et de changer son mode de vie. Se faire des amis, s'amuser, sortir, séduire des hommes... Il confie cette tâche émancipatrice à son ami d'enfance, Will Sumner, brillant financier et playboy absolu... Will n'est-il pas le mieux placé pour aider la jeune soeur de son ami à se transformer en femme fatale ' Si, dans son métier, Will sait prendre des risques, le défi que représente Hanna le laisse sceptique... Jusqu'à la folle nuit où cette élève, aussi innocente que séduisante, l'attire dans son lit et bouscule toutes ses certitudes sur les femmes. Maintenant qu'Hanna a découvert son sex-appeal, c'est à Will de lui prouver qu'il peut être l'homme idéal.
Bouleversant! Ce n’est pas quelque chose auquel on s’attend en ouvrant ce type d’ouvrage et pourtant cette histoire est tout simplement sublime.
Soyons clair, aucun des hommes de cette série sont des dragueurs invétérés qui ont voulu séduire une minette de plus et, au bout du compte sont tombés amoureux. La règle de base de cette série c’est que ce sont les femmes qui ont le pouvoir, et ce dès la première rencontre. Si Bennett (beautiful bastard) se comporte comme un salaud avec chloé c’est parce qu’il sait dés le début que cette femme lui tourne la tête, après une seule première fois anonyme, Max (Beautiful Stranger) n’a qu’une idée en tête: retrouver et séduire la belle Sara. Il en va de même pour Will ici qui est déjà complètement fou d’elle avant leurs premiers ébats. En dépit des titres qui pourraient induire en erreur et arrêter les blasés des hommes conquérants et dominants, il n’y a ni salopard, ni joueur ici et du début à la fin, ce sont les femmes qui mènent la barque. Et c’est ce que j’aime dans cette série. D’autant qu’un chapitre sur deux on est dans la tête de l’homme donc on sait précisément ce qu’il ressent.
Malgré tout, je dirais que celui-ci surpasse les deux autres. Il y a toujours beaucoup de sentiments dans les Beautiful mais là j’ai l’impression qui n’y avait QUE ça. A sa première rencontre avec Hanna, Will est chamboulé, ému, bouleversé. Lui qui ne s’est jamais engagé et ne cherche absolument pas à se caser remet tout en question après à peine une heure avec la délicieuse et pétillante jeune femme. On en sait peu sur le playboy de ce tome, on nous dit que c’est un coureur mais nous ne le voyons jamais jouer. Du début à la fin il ne montre que tendresse et passion pour la jeune femme. Pas le moins du monde orgueilleux, il exprime librement son amour et ses faiblesses à ses amis. Hanna est un personnage haut en couleur, d’une spontanéité déroutante et d’une naïveté touchante. Malheureusement elle manque d’assurance en elle et garde le souvenir d’un Will dragueur et incapable d’être sérieux avec une fille. Les non-dit vont les conduire à de l’incompréhension jusqu’à des moments déchirants et, encore une fois, totalement bouleversant.
En gros, j’ai adoré et chaque tome est encore meilleur que le précédent. Une vrai réussite.
Venez voir mon challenge pour la rentrée.
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Lu pour
